NE DOUTONS PLUS DE QUI NOUS SOMMES
30/10/2015 08:41
Le temps est arrivé pour certains(es) d'entre nous
où nous devons faire tomber les masques que le
monde a posé sur nos faces,nous ne sommes pas
ce que pensent les autres de nous,vous n'êtes pas
ce que vous étiez hier,reconnaissons que Jésus par
son Esprit a fait une oeuvre excellente en nous,
cessons de minimiser sa puissance,il a dit que
nous sommes des créatures merveilleuses.
"BIEN PLUS NOUS SOMMES
ENFANTS DE DIEU...
RÉJOUISSONS-NOUS
ET AVANCONS DANS NOTRE DESTINÉE
ET CESSONS DE REGARDER EN ARRIÈRE."
Celui qui regarde en arrière ne peut voir ce que
lui réserve l'avenir et ne peut donc avoir d'espérance,
et c'est faire de Dieu un menteur car n'a t-il pas
dit dans Jérémie 29.11
"Je connais les projets que j'ai formé sur vous,
projets de paix et non de malheur pour vous
donner un Avenir et de l'Espérance."...
Toi qui ne connais pas Jésus,il ne tarde que tu le
connaisses car il n'attend que toi,tu es de Lui...
De même qu'une mère connait les enfants sortis
de son sein ainsi en est-il du Dieu Créateur qui
soupire après toi qui tardes car c'est lui qui t'a tissé
dans le ventre de ta mère,Il sait tout de toi...
Donnes lui ta vie et deviens acteur de ton Espérance et
de ton Avenir,cesses d'être spectateur de l'Espérance
des autres...
Selon qu'il est écrit:
Psaume 139.13-18
C'est toi qui as formé mes reins,
Qui m'as tissé dans le sein de ma mère.
Je te loue de ce que je suis une créature si merveilleuse.
Tes œuvres sont admirables,
Et mon âme le reconnaît bien.
Mon corps n'était point caché devant toi,
Lorsque j'ai été fait dans un lieu secret,
Tissé dans les profondeurs de la terre.
Quand je n'étais qu'une masse informe,
Tes yeux me voyaient;
Et sur ton livre étaient tous inscrits
Les jours qui m'étaient destinés,
Avant qu'aucun d'eux existât.
Que tes pensées, ô Dieu, me semblent impénétrables!
Que le nombre en est grand!
Si je les compte, elles sont plus nombreuses
Que les grains de sable.
Je m'éveille, et je suis encore avec toi.
Sois Bénie
Avances
Lina Lautone
Image et Texte du 12.12.2014